samedi 22 août 2009

La peine de Vincent Lacroix réduite à cinq ans


...mais si les corbeaux, les vautours, un de ces matins disparaissent, le soleil brillera toujours !

Antagoniste.net = copy-paste

Le blogueur qui remporte la palme du lichâge d'anus bourgeois est antagoniste.net. Tout ce que fait ce connard est de copier-coler des articles de revues et de sites de droite. Wow ! Que c'est intéressant ! J'apprend tellement de chose grâce à lui.
Va donc laver les toilettes des Rémillard crisse de vendu !

Les jeunes adéquistes : une bande de petits cons

Ça ne paye pas de facture, ça reste chez papa-maman, ça conduit une Civic et ça veux détruire la société québécoise.

Il faut les comprendre, ils ont peur de ne pas pouvoir se payer une monster house dans une banlieue merdique, un gros gazebo avec une piscine creusée et aller dans le sud tous les hivers. Je leur pisse à la gueule.

Je souhaite que Jeff Plante gagne la course à la chefferie. La crédibilité de ce gros clown est 0 et ce serait le clou dans le cerceuil de l'ADQ.

jeudi 9 juillet 2009

Sortir de tanière

Je suis muet depuis mai, alors je n'ai pas d'illusion : je suis mort dans la blogosphère. Je n'ai pas envie d'épiloguer sur le pourquoi du comment.

Je suis souverainiste depuis 1980, j'avais 4 ans. Plutôt mes parents l'étaient et je le suis devenu. J'ai flirté à l'époque de Meech avec le fédéralisme, amère déception. Les noms de Clyde Wells, Elijah Harper, Frank McKenna, Jean Chrétien et Pierre Trudeau sont pour toujours associé à ce lamentable échec.

lundi 4 mai 2009

Billet printanier

J'ai cessé de bloguer pendant quelques jours. J'avais besoin d'une pause. Pour tout vous dire, je blogue par loisir. Alors, pour rattrapper le temps perdu, je vous propose une rafale de réflexions sur l'air du temps :

-Des élections fédérales en juin 2009 : Pourquoi pas !

-Assurance-emploi : je suis entièrement d'accord avec le Bloc Québécois, il faut éliminer la période de carence. Je suis entièrement d'accord avec le seuil d'admissibilité de 360 heures, endossé par tous les partis d'oppositions à la Chambre des communes.

-François Legault : Le meilleur parlementaire de l'Assemblée nationale.

-La chasse aux phoques : Phoque l'Union européenne !

-Denis Coderre : C'est un chef décent pour les fédéralistes du Québec.

-Bleu Québec : Moins acide depuis qu'il y a une course à l'ADQ.

-Hier j'tais chaud : Mise en demeure ? Fatigue ? Je suis déçu de la tournure des évènements.

-Marie-Claude Lortie : La petite bourgeoisie a une fière réprésentante. Le Laloux, le Newtown, La Montée de lait, le Club chasse et pêche... je m'en câlisse.

-Mario Dumont et sa conjointe : 2 excellentes raisons pour ne plus regarder TQS et TVA.

-Nathalie Normandeau et François Bonnardel : C'est sympatique. J'ai hâte de connaître la suite.

Vive le printemps !

mardi 28 avril 2009

La sagesse de Michel David


Je suis un fidèle lecteur du chroniqueur Michel David. J'aime son sens historique, sa connaissance intime et encyclopédique de l'Assemblée nationale, son humour subtil, la profondeur de sa culture générale et son français impeccable. Tout ça pour vous dire que sa chronique du 28 avril 2009, Les orages désirées, est une pièce d'anthologie. Sa perspective historique nous donne des clefs pour comprendre la stratégie de Jean Charest face à la fonction publique.

Perspective historique :

Les confrontations avec les syndicats du secteur public ont généralement bien servi les gouvernements libéraux. En 1973, Robert Bourassa a remporté sa victoire la plus écrasante après avoir fait emprisonner les chefs des trois grandes centrales. En 1989, il avait relancé une campagne électorale qui tournait à la catastrophe en mettant la population en demeure de choisir entre l'intérêt public et celui des syndicats.


Stratégie de Jean Charest :

Dans ce contexte, la perspective d'un nouveau front commun des syndicats du secteur public, qui laisse présager des négociations aussi mouvementées qu'il y a quatre ans, n'est peut-être pas pour déplaire au gouvernement. «Levez-vous vite, orages désirés...», écrivait Chateaubriand.


Ça me donne froid dans le dos.